Dans un couloir sombre éclairé seulement par des torches, tel un château du moyen âge, des cliquetis de chaine résonnait, comme les chaines d’un condamné à mort s’en allant à la potence. Des chaines qui signifiaient bien la condition de l’homme dans ce monde ténébreux gouverné par des créatures sortit tout droit des livres d’horreur : les vampires. L’esclave accompagné de deux de ces créatures se diriger tout droit vers une de ces maisons, une maison particulière. Celle-ci se trouvait dans les souterrains. Un des seuls endroits que contrôlaient les vampires d’après ce qu’il avait entendu, les cachots, du moins pour cette partie des cachots.
Continuant d’avancer le jeune homme à la chevelure encore un peu coiffer de sa dernière nuit où il avait aidé à organiser et assurer une soirée de la haute société vampire, repensa finalement à ce lieu où finalement c’était un lieu bien à lui. Ici il n’était chez personne, c’était un peu comme sa maison et malgré le lieu lugubre avec souvent un silence de mort, ou des cris de prisonnier devenant fou. Pour notre Esclave, Alec, c’était devenu, comme le chant des oiseaux, tellement habituel qu’il n’y prêtait plus attention.
Cela faisait maintenant deux semaines qu’il était cloitré ici et n’avait pu sortir que hier soir pour la réception. Arrivé devant la cellule, ses geôlier lui ouvrir la portes avant que le prisonnier rentre gentiment dans la pièce entouré de barreaux. Une fois ses chaines enlevé et les gardes parti Alec s’asseyait sur le lit qui n’était autre qu’une planche de bois suspendu par des chaines rouillés et une couverture légère qui suffisait à peine a se réchauffait des hivers très rude, heureusement Alec avait une bonne constitution et il n’avait vécu qu’une courte période d’hiver dans cette pièce pendant tout le temps qu’il y avait passé.
Au final il avait du passer à peu prés neuf mois dans cette cellule. Aujourd’hui encore, il attendait patiemment qu’on vienne à nouveau le chercher, pour finalement servir un nouveau maître. Un nouveau maître qui peut être serait un tyran comme il en avait connu, avec coup de fouet, insulte, de la maltraitance pure et simple qui lui couterait encore des cicatrices et des pensées suicidaire. Heureusement que Alec n’était pas lâche et prenait la solution du suicide comme tel. Peut être Est-ce qu’il allait avoir un nouveau maître très agréable, après réflexion. Agréable comme Amélia, il repensa à ses instants passés avec elle, à sa relation secrète, à leur séparation. Il ne put s’empêcher de laisser couler une larme. Cet amour qu’il avait vécu et qu’il ne revivra surement jamais.
Finalement il enleva cette pensé et essaya de se distraire en jouant à un jeu qui se jouait avec des cailloux, un jeu purement inventé par les esclaves pour s’occuper lorsqu’il n’avait rien à faire. C’était une sorte de solitaire.
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